Ouille aïe !

pied00h02 première décharge.
15 secondes après, la deuxième.
15 secondes plus tard, la troisième.
15 secondes plus tard, je pars à la recherche des pilules censées remédier au problème.
Tenir debout quand une décharge électrique initie une chorégraphie aléatoire du pied et de la jambe c'pô facile hein.
Vu l'état de la bête, je découche pour laisser Smab, dont le sommeil n'est en rien perturbé par mon agonie sans fin, afin de prendre possession du canapé, en ayant pris soin d'exiler la pendule dans la chambre d'ami(e)s et d'éteindre la cave à vin (que j'ai oublié de remettre en marche).
C'est long une nuit entrecoupée de micro sommeils de quelques secondes et d'écouter, forcé par cette torture, les bruits de l'immeuble jusqu'au moment de se lever parce que bon hein, comme il parait que c'est bon signe, faut quand même aller bosser.
Et puis ce soir je me shoote pour essayer de rattraper ce sommeil que la repousse m'interdit, nan mé ho !

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