domahom (a blog odyssey since 2001)

On a fait plein de trucs à la maison de campagne.
D'abord, dégager la vigne vierge, sa race, qui s'étale copieusement sur les façades et les volets, empêchant l'ouverture mais aussi un maintien en positon ouverte.
J'ai joué de la cisaille et du sécateur, pour faire entrer la lumière à flot.
En passant, j'en ai profité pour faire les vendanges, les premières de notre chez nous campagnard, en remplissant deux grands sceaux qui ont été transformés en jus de raisin et futur gelée de raisin avec la dernière tournée.
Smab de son côté à œuvré dans la cuisine en lessivant les murs qui en avaient bien besoin.
Nous étions, dans note débauche d'énergie, aidés par belle maman, la sœur et la nièce de Smab, qui de leur côté ont massacré le papier peint de la salle, une horreur, alors que j'attaquais la face ouest du crépit de la chambre du rez de chaussée et je profitai du déballage de la spatule électrique pour me blesser afin que Smab prenne soin de moi et me répare confectionne un joli pansement.
Aujourd'hui, on attaquait un peu l'esthétique et les courants d'air.
Smab a donné trois couches de peinture sur la porte de la cuisine qui a quitté son habit de grisaille pour un blanc presque parfait, avant d'y aller lui aussi du sécateur pour un troisième sceau de raisin.
La porte de la salle et une de ses fenêtres ont connu les joies de mes talents de vitrier, dépose des carreaux cassés, récupération de vieux carreaux au fond de la grange sur une vielle fenêtre, mise aux dimensions et repose des carreaux suivie d'un masticage de tout ce bordel.
Pour notre prochaine venue, je ne serai pas avare en mastique sur nombre d'huisseries pour lesquelles ce ne sera pas du luxe.
On a fait visiter la maison à un oncle et une tante de Smab et quelques dimensions relevées plus tard et on rangeait les outils, Smab content de sa peinture et moi heureux d'avoir remplacer les carreaux.
Demain je vais retrouver les joies insoupçonnées des courbatures, hmmmm, vivement que ça me passe !