domahom (a blog odyssey since 2001)

Hier j'ai laissé un post sur le forum de SFR qui est resté sans réponse.
Ok, je ne me formalise pas, et je compare très attentivement ce que propose la concurrence et j'en informe SFR par le formulaire de contact et sur le forum.
S'ils peuvent faire mieux, je demanderai à Dieu lui même d'intercéder en leur faveur, sinon le Diable himself est tellement irrésistible chez Bouygues que bon hein, à un moment, faut arrêter les conneries moi j'dis !

Ca y est, j'ai choisi mon mobile !

En effet, j'ai mis presque deux mois à prendre une décision ferme et définitive, mais mon choix est fait, il était temps.
Il s'agit donc du Samsung Galaxy S I9000, que SFR me propose en renouvellement pour la somme de 429.90 €.
En forfait, adapté aux possibilités technologiques de l'appareil, j'envisageais de changer celui que j'ai pour prendre un Illimitics 5+ Connect avec un réengagement de 12 mois, ce qui fait du 435.6€, j'arrive donc à un coût total de 865.50 € sur 12 mois.
Et puis dans la vie les choses ne se passent pas toujours comme on l'envisage.
Suite à des réponses beaucoup trop souvent à côté des questions posées du service clients, j'ai finalement tourné mon regard vers d'autres horizons pour comparer.
Donc le même portable avec une offre de forfait sensiblement identique me sont proposés pour un coût total sur 12 mois de 472.80 €.
Chez SFR, je suis (encore) client, libéré de tout engagement, alors que chez "l'autre", je serai nouveau client, mais voila avec une différence de 392.70€, en avril je ne me découvre pas d'un fil (faute de temps), mais en mai, j'irai donc chez l'autre puisque SFR n'est pas capable d'apporter de réponses satisfaisantes aux questions que je lui pose depuis bientôt deux mois.
Les histoires d'amour finissent mal en général, la nôtre en est la preuve.
Merci pour tout et... adieu !

N'allez pas croire que je parte en guerre contre l'univers entier hein, nan, nan, nan, j'ai juste encore un entretien demain matin avec les chefs des ressources humaines avec lesquels ça sera aussi la fête du slip, et après, basta, plus rien à péter, na !